24% des utilisateurs de Facebook ont arrêté de suivre une marque le mois dernier


Cette récente étude faisant état des utilisateurs de Facebook et des autres réseaux sociaux qui se désabonnent d’une marque tend à démontrer la volatilité de ces utilisateurs.

Certains utilisateurs acceptant de suivre une marque le temps de profiter d’une promotion ou d’un cadeau gratuit. Et ce phénomène est aussi bien visible tant sur Facebook que Twitter.


24% des utilisateurs de Facebook ont arrêté de suivre une marque le mois dernier


Ainsi, si nous prenons le cas de Facebook, on constate que le mois dernier, 29% des utilisateurs actifs ont suivi une nouvelle marque. Mais, pendant ce temps, 24% ont arrêté de suivre une marque.

Et ce, contre 30% des utilisateurs de Facebook qui se sont désabonnés d’une marque au mois de Décembre 2014. Soit quand même une baisse 6 points en trois mois. C’est à croire la qualité des offres s’améliore avec la réduction de la portée organique des posts des Pages Facebook.

Cette situation se retrouve aussi sur Twitter : 24% des utilisateurs actifs ont suivi une nouvelle marque le mois derniers alors que 15% se sont désabonnés d’une marque.

Et le paradoxe, c’est que ces utilisateurs de Facebook et de Twitter qui se sont désabonnés d’une marques seraient les utilisateurs les plus actifs sur ces deux réseaux sociaux. Et ce, en termes de fréquence de visites et de nombre d’interactions.


Image via GlobalWebIndex.com

Peut-être le plus important, selon GlobalWebIndex.com qui publie cette étude, c’est que ces utilisateurs qui ont cessé d’aimer ou de suivre une marque ne disent pas pour autant se lasser d’une telle activité en soi.

Pour preuve, 54% de ce groupe d’utilisateurs déclarent avoir aimé ou suivi une nouvelle marque pendant la même période. Mais, ils sont cependant 50% dans ce groupe à dire qu’ils se désabonnent de certaines marques afin d’améliorer la pertinence et l’attrait des interactions qu’ils réalisent sur les réseaux sociaux.

Sans doute pour dire que certaines marques s’avèrent être productrices de contenus de très moyenne qualité, et donc de contenus moins engageants au final.