Yes, business is business. Explications.
Tout commence par un utilisateur qui publie le Tweet ci-dessous présentant un pop-up qui s’afficherait à l’ouverture de la page des paramètres de son bloqueur via Chrome.
Ce pop-up informe les utilisateurs qu'Adblock particpe désormais au programme des publicités acceptables (Acceptable Ads Programme) qui se charge d’établir la liste blanche des sites à ne pas pénaliser.
Was casually browsing earlier using Google Chrome, opened a new tab, and this popped up: pic.twitter.com/BTmPabAwkd
— Adam Haworth (@aahaworth) 1 Octobre 2015
Toutefois, en annonçant cette nouvelle, Michael Gundlach, le propriétaire d’Adblock, mentionne en post scriptum (PS) que, “Par conséquent, je viens de vendre mon entreprise et l’acquéreur est aussi affilié au Programme des publicités Acceptables”.
Mais, ce qui est étrange, c’est qu’il n’a pas indiqué qui est le nouvel acquéreur de son entreprise, ni le montant du rachat, ni pourquoi il a consenti à la vendre maintenant.
Il faut dire que derrière cette histoire de bloqueurs de pubs, il y a des enjeux financiers colossaux en jeu que certains n’accepteraient pas qu’on vienne mettre en péril.
Selon Thenextweb.com qui a contacté le patron d’Adblock, ce dernier n’a pas voulu révéler le nom de l’acquéreur de son entreprise, parce que cet acquéreur a spécifiquement demandé à ne jamais être nommé.
Alors, les utilisateurs d’Adblock peuvent-ils avoir confiance en un logiciel qui appartient à un mystérieux personnage anonyme ?
A vous de voir.